samedi 5 septembre 2020

Une bien belle journée - Récit pour Malika

Malika m'est revenue. De nouveau. Je ne vais pas vous en parler en détail parce que, déjà, je vous le rappelle, Malika nous lit... Moi, je suis quand même un peu timide, je peux pas tout lui raconter ici... Et en plus, cette histoire ressemble beaucoup à ce qui a pu se passer entre nous lors de nos premières retrouvailles : un contact discret sur la toile, une petite rencontre, ballade, durant laquelle les intentions de la belle sont assez visibles, mais on laisse monter la pression et planer un petit doute. Et puis une deuxième rencontre et des bisous, toujours aussi doux.

Cette fois-ci cependant, nous avons un peu innové : pas de toilettes de la gare (le saviez-tu ? L'article dans lequel je décris nos ébats dans ce lieu insolite est, de loin, le plus consulté du blog, bande de perv'...) ou d'hôtel en journée mais, après s'être réfugiés dans la voiture pendant un épisode orageux d'été, les caresses se sont faites de plus en plus précises :  j'ai retrouvé sa belle poitrine si sensible, je lui ai caressé le pubis comme elle m'a appris à le faire il y a plus de vingt ans dans un couloir de métro et, tous les deux très excités, nous nous sommes contorsionnés pour faire l'amour sur le siège de la voiture pendant que la pluie tambourinait sur la carrosserie. Un classique de cinéma que nous avons découvert à quarante ans. Y'a pas d'âge n'est-ce pas ?

Bon, ce n'est pas de cette belle journée chaude et humide dont je voulais vous parler. Non, à l'occasion de nos retrouvailles, Malika m'a dit être particulièrement déçue de n'avoir pas de nouveau récit à parcourir sur ce blog que j'ai, il est vrai, bien délaissé. J'étais d'accord avec elle pour dire que c'était en effet bien dommage de ne pas partager mes aventures, et d'ainsi laisser s'en évanouir les souvenirs. J'ai donc décidé de nous raconter (à elle, à mon moi du futur et à toi public) la journée particulièrement dense qui a suivie, à l'occasion de mon retour de vacances, après plusieurs semaines sans voir Michelle.

Nous avions convenu de nous retrouver chez elle. A mon arrivée, classique petite mise en jambe de séduction : la belle joue la réservée, trouve quelques mini-excuses qui ne tiennent pas bien longtemps tellement je sens son envie et, il me suffit de quelques caresses du bout de la langue sur son téton dégagé pour commencer les réjouissances.

J'ai très envie de la faire bien jouir, un bel orgasme bien long et intense. En effet, le petit problème que je rencontre ordinairement avec Michelle, c'est qu'elle a assez peu expérience d'une pratique que j'affectionne beaucoup : le cunnilingus. Si bien que son orgasme vient en général très vite, après à peine une ou deux minutes, mais qu'il me semble fatalement assez superficiel... Aujourd'hui, j'ai décidé qu'il en serait autrement et je procède avec encore plus de retenue et de douceur que d'habitude. Je n'accélère pas quand elle le demande mais je tourne longtemps autour des zones les plus sensibles, effleurant les lèvres du bout de la langue, passant bien haut sur le pubis pour à peine exciter la base enfouie du clitoris, qui n'est lui stimulé qu'indirectement ou par mon souffle chaud. Je me concentre plutôt sur l'entrée du vagin ou la zone entre vagin et anus que je détaille du bout dur de ma langue.

Le résultat est à la hauteur de mes espérances et la belle a, après quelques minutes de cette torture, un bel et fort orgasme qui la laisse pourtant encore sur sa faim : contrairement à d'habitude, je n'ai pas eu à introduire mon doigt pour déclencher la jouissance, c'est à peine si j'ai effleuré le clitoris...

Si bien que la période d'hyper-sensibilité qui suit en général sa jouissance a une durée assez réduite et que je peux enchaîner avec une deuxième vague de stimulations, plus ciblées cette fois, plus intenses et, une dizaine de minutes plus tard, une explosion de plaisir la submerge de nouveau tandis que je suce intensément son clitoris et que la partie charnue de mon majeur caresse franchement la paroi antérieure de son vagin, jouant avec un point G dur comme un téton et gonflé comme jamais...

La pénétration qui suit, toute en douceur, se fait avec un naturel incroyable, ça glisse tout seul, c'est encore chaud et tremblant et, petit à petit, l'intensité de mes coups de rein s'accroit pour finir par la baiser bien fort comme elle me le demande et que nous jouissions tous les deux bien intensément. Hum, un bien bon souvenir !

Bien. C'est cool tout ça, mais rien d'absolument incroyable non plus, non ? Certes. Mais savez-vous quelle fut notre activé juste après ? Et bien, tout simplement, nous avons discuté de notre envie de faire un plan à trois, avec une complice... En effet, nous avions passé un bel après-midi dans un sauna libertin de la capitale juste avant le confinement et, à cette occasion, même si la belle avait manifesté un peu de jalousie de me voir me faire sucer par une jolie black à la bouche bien douce alors qu'elle se retrouvait aux prises avec le mari, elle avait finalement beaucoup apprécié le cunni que je lui avais fait dans le hammam pendant qu'une maghrébine d'une quarantaine d'années aux gros seins s'était occupé de lui dévorer la poitrine. Et puis me dit-elle, elle aime l'idée de me partager pour me faire encore plus jouir : ma sensibilité des tétons par exemple peut difficilement être excitée en même temps que la fellation avec une seule bouche. Avec deux en revanche, c'est la promesse d'un orgasme incroyable (mais aussi je le crains bien rapide mais bon...)

Donc, pour satisfaire ce désir, j'ai posté quelques annonces sur les sites adéquats et c'est donc le dépouillement des réponses qui nous a occupé après ces retrouvailles intenses. Et il y avait de quoi faire : nombreuses furent les requêtes que nous reçûmes. Malheureusement, dans 90 % du temps, il s'agissait d'hommes seuls qui nous proposaient leurs services ou tenaient à partager des photos de leur anatomie... Quelques demandes bien chelou aussi comme une proposition d'achat de strings portés ou encore ce sado-maso qui proposait pas moins de 500 euros pour que son bas-ventre soit écrasé par un pied du lit sur lequel nous nous ébattrions. Quelques uns plus vicieux encore qui se faisaient passer pour une femme intéressée par notre recherche, mais qui souhaitait qu'on l'appelle pour qu'elle nous écoute silencieusement pendant que nous ferions l'amour à l'autre bout du fil, pour "faire connaissance". Ou quelques autres scammeurs cherchant à avoir le plus de photos et d'informations personnelles possible dans le but sans doute de découvrir notre identité et de tenter un chantage... Bref, dans tout ça, finalement un seul contact potentiellement intéressant d'une asiatique d'une quarantaine d'années mais qui n'était pas libre pour le week-end suivant : on imagine bien qu'elle était fatalement assez demandée.

Cette activité un peu surréaliste a toutefois eu le mérite de nous passer le temps et de nous allumer un peu, et, même si la belle demandait un peu de répit pour la forme, mes caresses et coups de langue bien placés l'ont rapidement remise en selle. Un bon cunni plus tard, je la prenais fortement en levrette sur un lit dont les lattes ont fini par céder et c'est sur le tapis que nous finîmes, elle à moitié couchée sur le sol, ma main tenant fortement sa nuque pendant que je lui faisais bien l'amour, sans retenue, entrant tout mon sexe jusqu'à la garde dans son vagin dilaté, mes bourses frappant ses lèvres à chaque coup de rein dans un râle bestial. Bon, pas facile à décrire avec un clavier mais vous voyez bien l'idée...

Est-ce ainsi que se termine la journée, déjà bien remplie ?

Et non, car six heures après, j'étais au lit avec Caroline, et c'est bien cette combinaison qui rend cette journée assez extraordinaire. Je devais ce jour-là avoir vraiment envie de "bouffer des culs" comme disait bien vulgairement mon père car j'ai provoqué, avec une méthode assez similaire bien qu'adaptée à ses envies particulières (moins de stimulations anales, plus de sensibilité sur les poils du pubis, etc.), une des plus beaux orgasmes de Caroline, il a duré tellement longtemps, il n'en finissait pas, je suis resté bien longtemps pile à la limite du "trop" qui aurait entrainé un mouvement de rejet... Pendant qu'elle jouissait, j'alternais clitoris et point G dès que l'un des deux était au seuil de la douleur, l'autre prenant le relais... Elle est en sortie lessivée et moi, excité comme jamais. Et la pénétration qui suivie fut évidemment très longue, j'avais déjà donné l'après-midi même. Si bien que le plaisir a eu le temps de monter chez nous deux (il faut pénétrer Caroline très très longtemps avant d'avoir une chance d'approcher une zone orgasmique, généralement beaucoup plus longtemps que mon endurance ne me le permet tellement cela m'excite dès qu'elle se met à gémir...) et ce fut un des coups les plus mémorables de notre vie sexuelle...

Alors Malika, tu en penses quoi de mes journées ?

Je fais le malin mais ce n'est évidemment pas tous les jours comme ça, mais la conjonction de cette journée extraordinaire avec sa requête d'histoires neuves m'a amusée : je me suis dit que j'allais la jouer du genre : "ah oui, tu veux ma journée ? Tiens, au hasard je vais te parler d'avant-hier..." comme si c'était commun...

 


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