lundi 22 novembre 2010

Deuxième adultère avec Honorine à l'hôtel : qui a dit que la première fois était la meilleure ?

J'avais une fois de plus posé mon après-midi (vivent les RTT !) et Honorine me retrouva après mon boulot vers 15 heures... Elle était magnifique : robe rouge moulante mettant en valeur sa cambrure naturelle, certes pas extraordinaire pour une africaine mais qui rend déjà ses fesses musclées tellement excitantes, cheveux tressés en arrière, regard droit et fier... Mmh, quel bonheur de voir une aussi jolie fille, reluquée par tous les hommes qui la croisent et n'osent l'aborder, tout en sachant qu'on va lui faire l'amour dans les heures qui viennent...

Enfin, ce n'était pas gagné tout de même : Honorine semble de méchante humeur, grognonne et peu loquace alors que nous ne nous sommes pas vu depuis plus de deux mois, lorsque nous avons fait l'amour pour la première fois... Depuis, elle était en vacances à Madagascar... Comme prévu, je lui propose d'aller prendre un verre et j'essaie de rester le plus joueur et enjoué possible : si elle a des problèmes, elle n'a surement pas besoin d'un amant inquisiteur ou qui lui reproche de n'avoir donné que peu de signes d'intérêt, elle a déjà son mari pour ça... Et si elle a besoin d'en parler, je peux lui faire confiance pour le faire d'elle-même ! Je m'efforce donc de découvrir l'objet de son déplaisir tout en étant dragueur, sexué et amusant...

C'est pendant que nous attendons (trop longtemps) le serveur que je pense toucher du doigt ce qui ne va pas : malgré qu'elle ne l'ait pas laissé paraître une seconde et qu'elle soit restée assez froide et distante dans toutes nos communications, elle avait imaginé que nos retrouvailles seraient plus fougueuses... Nous quittons donc immédiatement la terrasse avant de prendre commande et je l'entraîne vers le métro. Vingt minutes plus tard, nous entrons dans une chambre d'hôtel qui fait ses choux gras des 5-à-7 clandestins (celui-là même que Malika avait déniché pour notre premier adultère... Je fais une petite aparté : j'ai vu que j'avais de nombreux visiteurs qui atterrissaient sur mon blog en cherchant un hôtel pouvant héberger leurs coucheries infidèles et je me souviens en avoir moi-même cherché sur Internet sans résultat... Je ne vais pas donner publiquement son adresse ici, mais avec un message privé, ça doit pouvoir s'arranger...)

Devant le succès que j'avais eu lors de notre premier rendez-vous coquin, j'avais de nouveau apporté une petite bouteille d'huile de massage... Honorine adore sentir mes mains huileuses se promener lentement sur ses épaules, son cou, sa nuque, massant virilement ou effleurant sensuellement... C'est encore une fois avec Malika que j'ai appris l'art du massage, ou comment faire en sorte que toute caresse placée sur n'importe quel endroit du corps ait un effet au plus profond du ventre de sa maîtresse : je passai de longues minutes à descendre lentement le long de sa colonne vertébrale, à caresser son dos jusqu'à la naissance de ses seins... Un par un, nos vêtements atterrissaient au pied du lit et, une fois nus tous les deux, tous les muscles d'Honorine ayant été détendus par mes caresses appuyées, je finis par me coucher complètement sur elle et entrepris de lui caresser doucement le pourtour de l'oreille avec ma langue...

C'est un peu de la triche il faut avouer, car, autant Malika adore qu'on lui mordille le bord des têtons, autant mon épouse Caroline aime sentir des caresses dans le sillon entre ses seins, autant Aicha (je le découvrirai plus tard) ne résiste pas lorsque ma cuisse remonte virilement entre les siennes jusqu'à compresser son sexe... Autant Honorine connaît un immense plaisir lorsqu'on s'occupe de ses oreilles et de sa nuque : quand on caresse doucement la limite hésitante qui fait que les cheveux du creux du cou ressemblent à des poils, Honorine est aux anges... Il faut d'ailleurs prendre garde de ne pas trop en faire tant sa sensibilité est grande à cet endroit, mais, bien menées et pas trop intrusives, si ces caresses se terminent par une visite de son conduit auditif par une pointe de langue indiscrète, le plaisir qu'elle éprouve commence à se rapprocher d'un orgasme : c'est ce qui se passera cet après-midi... Évidemment, je ne vais pas prétendre l'avoir fait jouir en lui caressant le cou, mais son sexe rasé était tellement mouillé et la sensibilité de son clitoris gonflé tellement élevée, que je n'ai eu le bonheur de la lécher qu'une petite minute avant qu'elle n'explose et ne me prive par là-même du plaisir de la dévorer... Les orgasmes clitoridiens d'Honorine sont étranges : ils sont soudains et brefs mais manifestement intenses : d'un coup elle contracte tous ses muscles et me serre entre ses cuisses si bien que je ne sais toujours pas si son rictus de plaisir est accompagné d'un râle ou d'un cri, mes oreilles comprimées n'entendant plus le moindre son à ce moment là... Ils sont tout de suite suivis d'une hyper-sensibilité qui interdit toute caresse supplémentaire, même dans le vagin ou sur le pourtour des lèvres, ce qui me frustre un peu...

Je l'ai prise juste après, en missionnaire... J'étais très excité et elle était redevenue lucide, elle se souvenait qu'elle m'avait fait jouir la première fois en jouant avec mes tétons et s'employait à les exciter pendant que j'allais en elle. Elle aimait cette sensation mais ne décollait manifestement pas, elle m'observait et semblait beaucoup plus attentive à mon plaisir qu'au sien. Je dois avouer que cela me perturba mais toutes ces caresses eurent raison de mon endurance et je jouis bien vite, ce qui sembla contenter Honorine...

Nous refîmes une deuxième séance : j'avais envie de la dévorer plus longuement et, après avoir repris nos esprits sous les draps et nous être caressés doucement en parlant, je glissais sous la couverture m'occuper de ses cuisses puis de ce qui se cachait entre elles... J'accompagnai cette fois mon cunnilingus d'un doigtage en règle, n'osant pas cependant introduire plus d'un index dans sa petite chatte si serrée... Lorsqu'elle fut bien excitée, je trouvai sans difficulté son point G à la texture très différente du reste de son vagin et j'entrepris de le stimuler de mon doigt courbé en rythme avec mes coups de langues réguliers mais de plus en plus rapide sur son clitoris... Le résultat ne se fit pas attendre et elle jouit de nouveau, encore plus fortement que la première fois... Ce sont les moments que je préfère : quand son corps se tend complètement, à l'écoute de chaque petit mouvement de langue ou de doigt, chaque faux pas pouvant gâcher cet instant si éphémère mais qui prend des accents d'éternité quand tout est parfait... Car c'est le sentiment bien égoïste de toute-puissance sur l'autre couplé à la reconnaissance animale qu'elle vous voue qui font que ces moments sont tellement délicieux, bien plus je pense qu'un éventuel altruisme désintéressé...

Mais je m'égare, mes pensées étaient bien moins philosophique quand, quelques secondes plus tard, je l'attrapai virilement pour la retourner sur le lit et la prendre en levrette dans un soupir de plaisir poussé à l'unisson. Je n'éprouve pas spécialement de plaisir dans cette (légère) brutalité, je préfèrerais être toujours doux et sensuel, mais il faut bien avouer que mes maîtresses adorent également ces moments où je prends les choses en main et où elles n'ont rien d'autre à faire que de se laisser attraper et guider. Couplés à mes aspirations naturelles de douceur et de tendresse, cela fait en général un cocktail qu'elles apprécient, alors je continue... Je ne me souviens malheureusement plus de ce coït... Quel dommage, à peine quelques mois et voilà déjà ce souvenir à jamais perdu !

Je me rappelle juste que nous nous sommes cette fois encore retrouvés sous la douche, Honorine me lavant très maternellement et précautionneusement : elle est elle-même une femme jalouse et, si ce n'est vraiment pas le cas de mon épouse Caroline, elle fait tout pour être certaine que la plus inquisitrice des femmes ne détecte rien de mes relations adultérines : elle va jusqu'à me reprocher de laisser goutter du liquide pré-éjaculatoire dans mes sous-vêtements en m'expliquant que c'est ce qui trahit son mari et qu'elle inspecte ses slips au linge sale quand elle a un doute ! En tout cas, cette suspicion a du bon : elle me permet de prendre des douches douces et de connaître le plaisir d'être choyée par une maîtresse attentionnée, cela termine en beauté ces après-midis de sexe...

Comme après la première fois, je sens Honorine beaucoup plus distante : elle culpabilise, autant pour Caroline qu'elle ne souhaite pas faire souffrir que pour son mari qu'elle sait pourtant infidèle. Elle me dit que je suis son premier amant et je sens qu'elle a du mal à regarder son mari dans les yeux les soirs où nous avons fait l'amour, c'est pourquoi elle préfère se dire qu'il ne s'agit que d'une passade et qu'elle refuse de fixer une prochaine date ou même de penser que nous nous reverrons, ce qui ne simplifie pas le côté logistique des choses...

3 commentaires:

  1. J'adore vos descriptions érotiques! elles sont très réalistes. on s'y croirait...ce qui fait du lecteur un voyeur !! ;-)
    Mais n'est ce pas le but de ce blog? Que nous lisions votre journal intime en cachette !
    Et bravo pour le point G je connais peu d'hommes qui savent le trouver ! :-)) quelques amants mais pas mon mari en tous cas !! ;-)
    Continuez!
    Carole

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  2. Oui Carole, vous avez bien compris : ce blog a bien pour but d'être le plus précis et réaliste possible... Pas seulement par soucis d'exhibitionnisme ou pour me livrer à ce confident imaginaire mais toutefois réel qu'est Internet, mais aussi et surtout pour qu'en le relisant, je me remémore tous ces instants de plaisir dans leur moindre détail alors que seules quelques impressions fugaces survivraient dans ma mémoire dans quelques années...

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  3. Ah, et pour le point G, vraiment, je n'ai pas de mérite : celui d'Honorine est le plus enfantin à dénicher que je n'ai jamais croisé et elle réagit immédiatement à la moindre stimulation... Même votre mari s'en serait tiré haut la main j'en suis sûr ;-)...

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