lundi 15 novembre 2010

Sexe adultère sauvage avec Malika : les toilettes de la gare

Le mois qui suivit notre première relation à l'hôtel, je revis Malika quatre fois... Le scenario fut sensiblement toujours le même, elle arrivait vers midi, nous nous retrouvions au restaurant de ma boîte ou bien nous prenions un sandwich que nous mangions dehors en discutant pendant une heure comme deux amis que nous étions redevenus... Nous nous sommes toujours bien entendus et ces discussions étaient très agréables, dénuées de toute pression puisqu'il n'y avait pas d'aléa sur la suite des évènements...

Puis, l'air de rien, nous nous dirigions vers un coin que nous avions repéré, calme, discret et pas cher : les toilettes pour dames de la gare à côté de laquelle je bosse... Malika est adepte de la baise dans n'importe quel endroit. Adolescents, nous nous étions découverts et aimés en forêt très souvent et un de nos meilleurs souvenir fut l'orgasme que je lui procurai en la doigtant dans les couloirs du métro bruxellois quand nous y étions étudiants... De plus, c'est ce genre d'excentricités que son mari si prude lui refuse et qu'elle n'ose même plus lui proposer, elle se dit donc que son amant est là pour pimenter ainsi sa vie... Enfin, elle se souvenait de moi comme étant plutôt radin (j'étais en fait surtout fauché à l'époque), ainsi, cette solution contentait chacun de nos vices...

Les toilettes de cette gare étaient spacieuses, très peu fréquentées et assez propres (plus que chez les hommes en tout cas). Elles fermaient à clef de l'intérieur au niveau de l'entrée principale si bien que nous les "privatisions" intégralement... Nous ne fûmes dérangés qu'une seule fois par une cliente un peu insistante qui finit par s'en aller en pensant probablement qu'elles étaient fermées...

Ces rapports étaient forcément rapides et sauvages : nous nous déshabillions et jouions quelques instants avec le sexe de l'autre : Malika me branlant un peu ou s'agenouillant devant moi pour me prendre dans sa bouche comme je l'aime tant, me fixant de ses grands yeux et moi dévorant ses seins ou caressant son sexe déjà complètement mouillé à l'idée de ce qui l'attendait... Nous avons tenté quelques positions mais les plus commodes étant donné notre différence de taille étaient qu'elle s'assoie sur la cuvette refermée pour que je la prenne de face, les deux pieds bien calés par la paroi toute proche (elle était bien embêtée par la chasse d'eau qu'elle déclenchait de temps en temps en se butant la tête...) ou bien qu'elle me tourne le dos et se penche alors que je la limais par derrière, en lui attrapant sans ménagement ses deux grosses fesses ou malaxant ses seins qui pendaient et se balançaient au rythme de mes va-et-vient violents... Dans tous les cas, je n'y allais pas par quatre chemins et, autant je suis doux et attentionné quand je le peux, autant mon but dans ces cas-là était de lui donner du plaisir le plus rapidement possible et la baiser le plus fort possible pour jouir avant d'être surpris... Mais c'est tout ce qu'elle demandait, elle adorait être prise ainsi à la va-vite et avec fougue, tout comme elle adorait je pense que j'éjacule au bout de quelques minutes seulement : elle n'attendait pas d'orgasme de ces coïts, mais juste le sentiment d'être désirable et capable de rendre fou un mec... Cependant, je ne résistais pas au plaisir de terminer le travail en restant bien en elle tout en branlant vigoureusement son clitoris bandé jusqu'à ce qu'elle jouisse et finisse de bien me vider par les contractions de son vagin... En plus, même si je me lavais soigneusement les mains après ces ébats, afin d'éliminer tout risque de contagion herpétique, je gardais sur mes doigts son odeur tout le reste de la journée et me faisais une joie de me remémorer ces quelques instants quand je m'ennuyais dans une réunion quelconque l'après-midi...

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