vendredi 7 juillet 2017

Mes doux rendez-vous à l'hôtel avec Olga, lesbienne bi suédoise

Dans ma vie amoureuse et sentimentale, Olga fait figure d'exception. Non seulement elle est d'origine suédoise donc à la peau bien blanche (elle est tout de même petite et brune, n'exagérons rien) ce qui n'avait jamais été le cas d'aucune de mes partenaires extra-conjugales, mais surtout Olga vit au quotidien avec une femme.

Je l'ai rencontré via un site qui permet la mise en relation des couples homosexuels avec d'éventuels donneurs (ou d'autres couples homosexuels de l'autre genre)... Mon idée ayant toujours été que :
- Il n'est révoltant que les couples de lesbiennes ou les femmes seules n'aient pas accès au système de don de sperme officiel
- Donner son sperme est un formidable moyen de propager son code génétique au-delà de ce que les standards familiaux actuels permettent (disons qu'il semble difficile d'élever 20 enfants... Via le don, c'est possible de les avoir)
- Je pense que j'adorerai découvrir que j'ai des demi-frères ou soeurs à l'âge adulte. Je compte donc révéler leur existence à mes enfants lors de ma mort, un peu comme un cadeau d'adieu. Ils en feront bien ce qu'ils voudront.

Alors que j'avais déjà apporté mon aide dans ce genre de projet et étant tête à tête avec une éprouvette dont le couple s'occupait à mon départ, ici, les choses se sont présentées autrement.
Olga, 42 ans, très franche, n'a pas toujours été lesbienne, et elle ne gardait pas un mauvais souvenir de ses relations avec des hommes. De plus, elle était convaincue que le rapport direct favorisait les chances de tomber enceinte, elle m'a donc proposé, après des tests réciproques sur tous les problèmes possibles, de procéder de façon naturelle. Ma foi, sans être canon, Olga n'était pas moche, un petit bidon et un peu de cellulite mais de jolis seins et un beau sourire, ça ne se refuse pas...

Je n'allais pas être déçu. Nous nous sommes rencontrés de nombreuses fois, toujours à l'hôtel (en plus tout frais payé pour moi), et je n'avais absolument aucune pression de performance, au contraire, il valait mieux aller assez vite (du moins pour les premières fois). Pour me mettre en forme, Olga m'installait confortablement sur le dos, me caressait délicieusement en m'effleurant partout, me suçait tout doucement jusqu'à ce que je sois au bord de l'orgasme puis je la pénètrais gentiment pour jouir en elle très vite. Plutôt agréable.

Puis nos rapports se sont peu à peu enrichis. Une fois, alors qu'elle voulait que l'on tente trois jours de suite, comme j'étais moins en forme le troisième jour (il faut dire que Caroline avait eu une envie la veille, ça faisait tout de même quatre fois en 3 jours...), pour me revigorer, elle me donna ses seins à lécher, puis je lui léchai la chatte. Elle aima, me le montra bien, et ça me remit en forme pour la reprendre plus vigoureusement que jamais.

Nous commençâmes à nous embrasser timidement, puis, essai après essai, à nous rouler de francs patins pendant que je la prenais et, les dernières fois, nous faisions l'amour comme deux amoureux, tout y était, baisers torrides, sexe buccal, petits mots doux... Je fais l'amour aussi bien qu'une femme paraît-il (je sais que je suis tendre), mais avec un truc en plus toutefois... Etonnante lesbienne tout de même...

Comment ça c'est terminé ? Pas de happy end malheureusement. Son corps en a finit avec sa réserve d'ovocytes sans que nous soyions parvenus à en féconder un... Enfin, si, mais le bougre n'a pas voulu rester bien au chaud. Malgré les aides médicales, rien à faire, ça n'a pas fonctionné... Notre relation s'est donc terminée puisqu'elle était basée sur ce contrat explicite, et, même si je sais qu'Olga a adoré nos parties de jambes en l'air, je sais qu'elle s'achète une conscience via-à-vis de son épouse (qui a toujours pensé que nous procédions de façon artisanale) en se disant que si elle l'a trompé, c'était pour la bonne cause. Cette excuse ne tiendrait plus aujourd'hui...

1 commentaire:

  1. Bonjour,

    Merci pour ce doux moment de lecture qui m'a littéralement mise en bouche pour ce soir.

    A bientôt

    La chatte

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