mercredi 21 juin 2017

Rose, ma touriste chinoise, est folle de moi. Et je lui rends bien


Vous vous souvenez de Rose ? La jolie touriste chinoise que j'avais abordé et séduite en quelques heures dans Paris.
Et bien, un jour, sans crier gare, Rose, avec qui nous échangions des petits messages mignons de temps en temps, me dit qu'elle sera de nouveau à Paris la semaine suivante, seule, et que ça lui ferait plaisir de me revoir...
Coup de chance je suis bien là (à une semaine près c'était les vacances...) et je pose discrètement une journée pour passer le plus de temps possible avec ma belle asiatique.
Et lorsque je la retrouve sur le Champ de Mars pour la guider quelques heures dans les rues de Paris, elle est toujours aussi jolie et souriante. On commence cependant par se faire pudiquement la bise, puis le jeu de la séduction reprend le dessus : petits kinos, je lui tiens la main pour traverser la rue (elle frissonne de traverser au rouge) et la lâche de plus en plus tard, on se frôle, se taquine, elle a envie et je finis par l'embrasser de nouveau au pied du Sacré-Coeur (merci Paris)
Un petit resto assez authentique puis je lui fais visiter les coins les plus mignons de Montmartre, les plus romantiques (fatiguée, je la prends dans mes bras pour lui faire grimper les dernières volées de marche... L'exploit est à ma mesure, elle doit peser 45 kg toute mouillée, et je m'y emploie), les plus clichés aussi (ah... Le mur des 'je t'aime'...)
Enfin, nous rentrons comme deux amoureux dans sa chambre. La tension est au maximum, on s'embrasse goulument ce qui l'excite terriblement, elle n'est manifestement pas habituée à tant de démonstrations de passion et d'ardeur. Nue, elle est vraiment magnifique, des jambes fines et douces, une taille de guêpe mais de jolies petites fesses rebondies et des seins vraiment épatants. Bien ronds et fermes, pas énormes mais tout de même volumineux étant donné sa morphologie. Honnêtement, ils semblent trop parfaits pour être naturels mais rien ne laisse entrevoir que ce ne soit pas le cas. En tout cas, ils sont très réactils à mes coups de langue et la belle laisse échapper des feulements qui me donnent vraiment envie d'explorer le reste de son anatomie.
En bas, surprise : un énorme buisson ! Jamais taillé, touffu et odorant. Je m'applique à débroussailler tout ça de la langue et à se faire tortiller ma maîtresse dans tous les sens. Elle est très sensible, n'a manifestement jamais connu ça et je la rends folle avec délectation pour lui donner finalement tant bien que mal (elle se débat, s'échappe ou me serre dans ses cuisses) un bel orgasme qui la laisse haletante et trempée.
C'est le moment de passer à l'estocade, alongé sur elle, je la pénètre lentement (elle est craintive vis-à-vis de la taille de mon sexe), mais la nature est bien faite et même si ma fougue est parfois un peu trop forte pour elle, je finis toutefois par bien la prendre bien à fond. C'est doux et serré, un délice. Elle gémit énormément, exactement comme le stéréotype dépeint dans tout film porno asiatique qui se respecte. Je profite un max en caressant son petit corps tendu dans toutes les positions et je finis par m'abandonner en elle dans des râles partagés. Oh, délicieux... Elle est tellement amoureuse et aux petits soins. Vraiment, pile poil comme on se représente le cliché de l'amante asiatique.
Nous remettrons le couvert dans des développements assez similaires par deux fois ce jour-là (entrecoupé d'un dîner toutefois), puis le lendemain (mais on ne saurait s'en lasser). Son instagram y gagnera de nouvelles photos où ses yeux brillent d'une lueur nouvelle puis on finira par se séparer la mort dans l'âme...
Depuis, les petits messages et attentions ont repris de plus belle. Rose m'a envoyé une chanson qu'elle a composé pour moi et chanté dans les karaokés, elle multiplie les allusions à peine voilées sur ses réseaux sociaux (il faut croire que son mari n'y va pas) et s'est même fait tatouer les coordonnées des lieux de notre rencontre et une phrase romantique en français sur le corps ! Si ça c'est pas du love... Pour ma part, je lui montre aussi que je pense à elle (ce qui est vrai parfois) et je lui ai fait parvenir par surprise un bouquet de fleurs pour son anniversaire, ce qui supposait pas mal d'effort pour la retrouver dans Shanghai. Cela a bien fonctionné et je l'ai retrouvé sur Instagram avec le commentaire : "quelle plus belle surprise que de recevoir un cadeau de la part de celui qui vous manque chaque jour..." Et ouais, c'est kawaï l'amour d'une chinoise... C'est idiot mais ça me fait plaisir, et le souvenir de son cul offert à quatre pattes dans sa chambre d'hôtel me fait espérer ses prochaines vacances avec gourmandise.

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