jeudi 26 février 2015

La passion est toujours aussi intense après deux mois de relations adultères avec Catherine

Ce soir de janvier, j'ai rendez-vous avec Catherine pour notre dixième 5 à 7.

Le rituel est toujours le même : je quitte le bureau plus tôt et nous nous retrouvons dans le métro pour nous rendre jusqu'à l'hôtel que j'ai réservé pour l'occasion.

Dès que nous nous revoyons sur le quai, après avoir été séparés par les vacances et deux semaines (un record), nous ne résistons pas longtemps à notre désir de nous embrasser, de façon de moins en moins prudente.

Ce n'est évidemment que le prélude de ce qui se passera dès la porte de la chambre franchie. Catherine a mis un short moulant, un collant et de longues bottes qui lui remontent au dessus du genou. Cela lui fuselle les jambes de manière particulièrement excitante.

Je la caresse longuement et nous nous embrassons à perdre haleine jusqu'à ce qu'elle m'implore de la laisser se déshabiller. Je suis plus rapide qu'elle et me glisse nu dans les draps propres. Elle m'y rejoint quelques secondes plus tard.

Toute la suite se fait le plus naturellement du monde, comme toujours avec elle. Beaucoup de baisers passionnés, des caresses de plus en plus précises : d'abord le cou, la nuque puis la poitrine, le ventre, l'intérieur des cuisses... Je constate qu'elle est très excitée, trempée, soupirante dès que mes doigts se rapprochent d'un endroit sensible.

Je joue avec son clito quelques secondes puis le branle franchement, elle me serre de plus en plus, caresse frénétiquement mon sexe et mes couilles et tente de m'attirer sur elle. Je ne résiste pas bien longtemps à une telle insistance et la pénètre franchement, ultra facilement tant elle est excitée. Elle pousse un râle de plaisir...

Nous faisons l'amour longtemps, avec des temps très calmes et des moments où je la lime de plus en plus fortement. Elle adore, moi aussi, et le dénouement est une fois de plus provoqué par des douces caresses de mon anus et de mes testicules qui m'incitent plus qu'explicitement à me laisser aller.

Nous sommes heureux de nous revoir, on se serre longtemps l'un contre l'autre, sans bouger, à profiter de la sensation de plaisir qui se diffuse partout en nous. Puis nous bavardons comme deux amis qui ont leurs vacances à se raconter. Catherine reprend bientôt le boulot, elle est un peu nostalgique, d'autant plus que son nouvel emploi du temps nous laissera moins de temps pour nous retrouver.

Il ne nous faut guère que 20 minutes pour de nouveau nous retrouver dans un état d'excitation intense, uniquement provoqué par quelques caresses, des baisers et des regards fougueux. Cette fois-ci, l'apothéose est atteinte quand je le prends de dos, sur le côté, tout en lui dévorant la nuque... Je crois que jamais son plaisir n'a été aussi intense, quant à moi, je suis parfaitement vidé par cette séance de près d'une heure où les positions se sont enchaîné et où ma chérie a frôlé et repoussé son orgasme deux ou trois fois et où j'ai fini par lui dire que je l'aimais, ce qui est sans aucun doute vrai dans ce contexte...

Comme je débande difficilement après un tel exercice, Catherine me suce doucement alors que mon sexe rougi se dégonfle lentement. Elle me dit que ça l'amuse, qu'elle y prend énormément de plaisir. C'est partagé ma chérie...

Nous finissons par nous endormir l'un contre l'autre pendant une sieste d'une bonne heure aux songes un peu surréalistes, probablement provoqués par un état de fatigue et de relâchement avancés.

Nous sommes heureux mais tristes de nous séparer, sans doute pas pour longtemps...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire