mercredi 17 décembre 2014

Un mois d'adultères et quatre relations interdites avec Catherine

En décembre, nous nous rencontrons une fois par semaine, dans un hôtel différent à chaque fois, au hasard des disponibilités d'Internet. L'attente est ponctuée de messages quotidiens et de SMS amoureux. J'adore quand, au détour d'un SMS un peu osé, Catherine m'avoue que ça l'excite. Je m'amuse pendant une journée à décompter de temps en temps le nombre de minutes qu'il nous faut encore attendre avant de nous voir... La semaine suivante, elle me demande de recommencer parce que ça lui avait fait de l'effet avant nos retrouvailles. Nous nous amusons comme des ados.

Si au fil des semaines les scénarios se ressemblent, le plaisir lui ne s'atténue pas... Chaque fois, même si nous tentons de prendre notre temps, nous ne parvenons pas à ne pas nous jeter l'un sur l'autre... Nos vêtements ne nous retiennent pas longtemps, et, vite nus l'un contre l'autre, je l'étreins sous le coup d'une incroyable excitation. Je ressens énormément de plaisir et manifestement elle aussi. Une fois ce désir animal de l'orgasme assouvi, nous prenons un peu plus de temps pour nous occuper de nos corps.  Massages, douces fellations ou cunni qui commencent doucement nous amène doucement à de nouvelles étreintes. Celles-ci ne me mènent pas tout de suite à l'orgasme, elles sont parfois entrecoupées de pauses et d'autres jeux, mais je reste souvent en elle pendant longtemps, alternant moments calmes et intenses.

Nous connaissons de mieux en mieux nos corps, cela se ressent par une complicité de plus en plus présente dans nos actes. Il n'y a plus le moindre malaise ni la moindre gêne et nous éprouvons de plus en plus de plaisir. Je me rapproche vraiment de son orgasme, même si elle continue à le retenir, que ce soit quand je la pénètre ou quand je lèche son clitoris en la doigtant. Cette bonne entente se manifeste également lors de nos discussions qui restent certes rares et courtes mais où nous sommes de plus en plus complices.

Quelques souvenirs de ce mois intense restent très présents :

Ainsi, je me rappelle particulièrement une fellation magistrale ponctuée par un chevauchement rageur. Ou cette fois où après le premier acte, j'ai fait remonter notre excitation en quelques secondes d'effleurements de son sein et de son pubis.

Entre deux pénétrations, Catherine me suce souvent, avec douceur, application et patience. Elle me dit qu'elle adore ça et me connaît de mieux en mieux. Lors de notre sixième rencontre, j'ai enfin joui dans sa bouche (enfin je crois, le plaisir est tellement intense et violent que je ne vois rien...), mais elle s'est amusé du mélange sucré-poivré du goût de mon sperme, et elle a consciencieusement aspiré jusqu'à la dernière goutte... Oh, deux jours après, en rédigeant ce brouillon, je ressens encore combien mon bassin est détendu...

A chaque fois que nous nous quittons, Catherine manifeste beaucoup tristesse. Pour ma part, je suis surtout heureux et satisfait. "Fourbu mais content" comme le chante Serge Lama. Les mots doux précèdent les premières déclarations timide d'amour, qui ne font que devenir de plus en plus franches, même si le processus est toujours en cours...

Pour notre septième rencontre (je ne suis pas comptable et s'il n'y avait pas ce blog, j'aurais déjà perdu le compte...), nous faisons l'amour intensément dans les minutes qui suivent notre entrée dans la chambre. Je jouis en elle quand elle m'y encourage, sevrée de plaisir.
Nous discutons quelques instants alors que l'attirance entre nos corps grandit encore, et elle commence à me sucer pour m'exciter de nouveau. Mais, plutôt que de profiter de cette belle érection qu'elle a fait naître, elle insiste jusqu'à me délivrer sous ses délicieux coups de langue.
Quelques instants plus tard, elle me chevauche rageusement jusqu'à me procurer une troisième fois le plaisir de tout lâcher en elle.
Et, avant de partir, elle parvient encore à me soutirer quelques gouttes de sperme force de me branler avec mon gland dans la bouche. L'orgasme est d'une grande violence, mêlant douleur et soulagement. Quatre orgasmes en trois heures, elle n'a jamais vu ça me dira-t-elle, et moi je serai sur un petit nuage de coton durant deux jours...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire