vendredi 18 septembre 2015

Catherine, amour fou, sexe sauvage et... orgasmes enfin partagés !

Cela fait maintenant presqu'un an que Catherine est ma maîtresse et qu'elle aime m'appeler "son amant vahaza". Le vahaza, c'est le blanc en malgache, et jamais Catherine n'aurait pu s'imaginer s'enticher un jour d'un non-malgache...

Mais elle ne le regrette manifestement pas. La semaine dernière, Catherine m'a fait un magnifique cadeau : elle a enfin cessé de se refuser à l'abandon et s'est laissée aller à jouir dans mes bras...

Nous avions débuté notre rendez-vous de manière un peu atypique, puisque, pour la première fois en une vingtaine de rencontres, Catherine avait choisi de commencer par me sucer. Elle adore sucer, en général vers la fin de nos ébats, et elle parvient à me remettre en forme en quelques instants et même à obtenir d'incroyables troisième ou quatrième éjaculations de cette manière. Mais cette fois-ci, elle avait envie d'une queue immédiatement dure dans sa bouche, de me sentir surexcité dès les premiers coups de langues sur mon prépuce et voulait une belle éjaculation abondante... Il ne lui fallut pas bien longtemps pour obtenir le tout, tant elle est toujours aussi experte dans sa manière de jouer avec moi et de me rendre fou.

Quelques instants plus tard, après avoir repris mes esprits et quelques forces en caressant doucement le corps nu de Catherine, j'entrepris de l'exciter en m'attardant sur les parties les plus sensibles de son corps, que je commence à bien connaître maintenant, et je terminai en doux baisers sur ses beaux seins, son ventre et l'intérieur de ses cuisses... Jusqu'à ce que ce petit corps se tortillant sous mes caresses soit tellement chaud que les premiers passages de langue au bord de son sexe provoquent des gémissements de plaisir communicateurs. Et là, plutôt que de m'enjoindre d'arrêter pour la pénétrer, Catherine s'est laissé faire de longues minutes. Il y a bien longtemps que ma langue avait arrêté d'explorer les recoins de ses lèvres pour se concentrer sur son clitoris en érection et que mes mains étaient passées successivement de ses hanches à ses fesses pour finir par caresser son pubis et l'intérieur de son vagin quand Catherine finit par m'offrir un  orgasme long et profond, sans explosion ni cris mais qui la laissa essoufflée et ébouriffée...

Bien que son sexe soit hyper-sensible après un tel exercice, je ne pus résister à l'envie incroyable que j'avais de la prendre à ce moment. Elle était tellement excité que mon sexe pourtant très gonflé la pénétra complètement dans un soupir de plaisirs partagés... Et, après ce long coït où nous alternâmes comme à notre habitude tout un tas de positions sans le moindre heurt, je la sentis encore une fois jouir, cette fois de me sentir au fond d'elle. C'était bon, doux et chaud, je l'accompagnais dans l'extase. Et puis nous avons dormis tous les deux, sa tête sur ma poitrine.

Et quand nous nous sommes réveillés, une petite heure plus tard, nous avons recommencé. Et j'ai joui quand elle en a eu envie : comment résister quand, en levrette au fond d'elle, les deux mains perdues entre ses fesses, ses seins et sa nuque, elle me supplie de jouir en elle en attrapant mes couilles pour les masser ?

Oh oui, que c'est bon le sexe sauvage avec ma petite maîtresse gasy !

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