vendredi 5 décembre 2014

Catherine : troisième adultère et un annulingus inoubliable

Une fois n'est pas coutume, j'écris cet article sans recul puisqu'il y a tout juste quelques heures, Catherine jouait encore avec mon corps et je lui rendais bien...

Oui, bien que je l'aie abordé il y a moins d'un mois, nous en sommes déjà à notre troisième séance de jambes en l'air, et je crains que nous ne brûlions la chandelle par les deux bouts tant cette passion nous dévore.

Ainsi, Catherine prétend qu'elle est au travail durant nos petites séances clandestines, mais elle se fait remplacer à son poste. Et, quand je lui ai demandé quelles en seraient les conséquences financières, elle m'a avoué qu'elle ne savait pas comment son mari réagirait. Ou encore, nous avons aujourd'hui pour la première fois fait l'amour sans préservatif, après nous être fait tester contre toutes les maladies détectables. Catherine voulait vraiment se débarrasser de cette dernière barrière entre nos deux intimités et me sentir vraiment en elle. Bref, de vrais adolescents, fous l'un de l'autre qui profitent de l'instant sans penser au lendemain.

Dès que nous nous sommes retrouvés enfin tous les deux après une semaine d'attente et de messages enflammés, Catherine a voulu s'occuper de moi et me rendre le massage que je lui avais fait lors de notre dernière rencontre. Elle est sans doute trop douce pour que son massage ne soit vraiment efficace, mais ses caresses eurent un effet excitant indéniable et nous inversâmes bien vite nos positions pour que, couverte de baisers et de mordillements de plus en plus fougueux, Catherine sente bientôt mon sexe nu et gonflé se glisser dans sa fente douce et inondée. Je l'ai pénétrée longtemps, alternant des va-et-vient caressants et assez superficiels avec des pénétrations plus vigoureuses et profondes quand je lui attrape les fesses ou les cuisses. Elle préfère d'ailleurs me sentir bien au fond de son vagin et son plaisir gonfle encore mon sexe déjà sur-excité par la sensation d'attraper son joli petit cul.

Au milieu de ce coït, après avoir dévoré ses seins durcis, je m'appliquai à lécher sa chatte trempée puis je la retournai pour m'occuper de ses jolies fesses. Elle se tendit quand ma langue passa au bord de son anus et m'encouragea. Je ne me fis pas prier pour la lécher franchement à cet endroit tout en glissant un doigt dans son vagin. Mes caresses alternées entre clitoris, vagin et anus finirent de l'exciter complètement et je la retournai pour la reprendre en missionnaire après avoir sauvagement fouillé sa bouche d'une langue autoritaire.

Malgré l'immense plaisir procuré par cette longue pénétration et les caresses nombreuses et expertes de Catherine, je réussis à bien me maîtriser, jusqu'à ce que, caressant mes couilles, elle ne m'encourage franchement à me laisser aller et que je jouisse bien vite en elle. Un très bon orgasme, sans frustration ni retenue, quelques secondes d'éternité.

Puis ce fut l'heure des confidences. Catherine me parla de ses relations avec son mari, un malgache largement plus âgé qu'elle, qu'elle doit solliciter à chaque fois qu'elle a envie. "Il est gentil, il essaie à chaque fois", mais manifestement, en plus de ne pas être porté sur le chose, ce pauvre homme souffre d'un problème d'éjaculation précoce. Catherine a longtemps été tentée de le tromper mais n'avait jamais franchi le pas. Elle dit que ce sont mes yeux qui l'ont décidée, au lendemain de notre premier rendez-vous, et elle convient que "si mon mari faisait le quart de ce que tu me fais Emmanuel, jamais je ne serais ici".

Et les évènements étaient justement en train de se faire écho de cette constatation : alors que nous discutions, je l'embrassais doucement dans le cou, au bord de la nuque et je remontais doucement, imperceptiblement, poil par poil jusqu'à son oreille que je commençai à effleurer et taquiner, me rapprochant petit à petit de l'orifice et en m'attardant partout où mes caresses pouvaient provoquer des frissons... Vinrent ensuite les mordillements, mes doigts glissèrent franchement dans ses cheveux et je pris le lobe puis la moitié supérieure de son oreille dans ma bouche. Catherine était haletante, à la limite de retirer sa tête tant la sensation était forte jusqu'à ce qu'en apothéose, la pointe de ma langue s'introduise dans son conduit auditif au léger goût de cérumen que je m'appliquai à contentieusement nettoyer.

Nous convînmes qu'elle n'aurait jamais imaginé éprouver autant de plaisir avec une simple oreille et, alors que je tentais de lui démontrer que je pouvais en faire autant avec tout un tas d'autres parties de son corps excité, elle me glissa qu'elle voulait plutôt me sucer et que c'était à son tour de s'occuper de moi.

Je ne regrette pas d'avoir obtempéré. Non seulement Catherine suce divinement, alternant les coups de langues sur le gland avec des longs va-et-vient de toute la longueur de ma queue dans sa bouche, mais en plus, elle me caresse à tout instant les couilles, l'intérieur des cuisses et les fesses. Et ce soir, échaudée sans doute par mes coups de langue audacieux sur cette partie de son anatomie, elle me prodigua un délicieux annalingus tout en me branlant... Seule Vishnu avait réussi à provoquer un tel sentiment délicieux d'abandon, ce qui est vraiment un exploit de la part de Catherine étant donné la différence d'expérience entre ces deux maîtresses... Et franchement, qu'est ce qui peut être plus agréable qu'une jolie femme mûre, souriante et épanouie, qui vous regarde dans les yeux en vous disant : "oh mon chéri, qu'est ce que j'aime sucer, et que ta queue est bonne pour ça" avant que votre gland ne disparaisse entre deux lèvres charnues et gourmandes ?

Puis nous avons passé de longs moments serrés tous les deux, sous les draps chauds, à parler et à nous caresser, ma main glissant à tout instant de ses jambes douces à ses fesses fermes pendant que nous regrettions le temps qui file et que nous prévoyions déjà des escapades plus longues. De délicieux moments entre amoureux. Vivement mercredi prochain...

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