vendredi 5 décembre 2014

Quelques autres rencontres et anecdotes de drague de rue

Nous parlerons ici d'une marocaine qui cherche le grand amour mais qui aime rabaisser les hommes, d'une zaïroise dominatrice, d'une jolie camerounaise au nom de fleur, d'une jolie brune mariée qui finit par se raviser ou encore de la plus jolie fille dont j'ai attrapé le numéro, une incroyable rwandaise longiforme dont je n'arriverai jamais à avoir de nouvelles...


Parmi les plus de 250 autres femmes que j'ai abordé dans la rue, certaines de celles avec lesquelles je n'ai pas conclu m'ont également laissé des souvenirs ou des anecdotes marquantes...


Il y a cette grande et très classe marocaine, Karima, HB8, qui m'a beaucoup amusé. Karima est célibataire, cadre et a probablement autour de 35/40 ans. Rompue à l'art de la séduction, elle se montre très autoritaire et hard-to-get comme on dit : femme fatale inaccessible en quelques sortes. Cela ne me fait pas spécialement peur et, après avoir obtenu son numéro, nous nous retrouvons pour un premier rendez-vous. Je ne parle pas beaucoup : elle me raconte sa vie en détail, et surtout je comprends vite qu'elle cherche le grand amour, le mariage et qu'elle exècre les hommes infidèles. Je n'avais pas encore révélé ma situation maritale (c'était l'époque où je draguais sans alliance, ce que je ne fais plus pour des raisons à la fois d'honnêteté et de gain de temps...) et je m'en suis bien abstenu.
Après le rendez-vous, tout espoir de relation adultère intéressante étant exclu, je me fais plus distant et réponds de moins en moins aux provocations de Karima jusqu'à ce qu'un jour, elle m'appelle et laisse sur mon répondeur un message avec une toute petite voix, m'expliquant penaudement qu'elle avait l'air inaccessible mais que bon, en fait, c'était un jeu et qu'elle aimerait beaucoup me revoir et qu'il suffisait que j'insiste un tout petit peu et que surtout je ne me décourage pas... Mignon, non ?



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