mercredi 1 octobre 2014

Deuxième fois à l'hôtel avec Aïcha : festival d'orgasmes

Le temps passe. C'était il y a quatre ans... Très peu de souvenir de cette deuxième fois avec Aïcha... Heureusement, j'avais à l'époque écrit des brouillons en style télégraphique, non publiés probablement parce que je voulais tenter de respecter la chronologie, terminer les histoires avec Malika par exemple avant de tout raconter sur Aïcha...

Voici donc ce qui reste de cette deuxième fois. Le redécouvrir me fait plaisir, me conforte dans l'idée que je dois faire l'effort de tout coucher sur le papier, ce n'est pas évident, très consommateur de temps et d'énergie pour ne pas faire de bêtise comme de le laisser traîner dans l'historique de l'ordinateur... Mais franchement, ça vaut le coup, sinon tout s'efface...

Pour cette deuxième fois avec ma belle maîtresse, l'ambiance est plus sereine. Le rendez-vous à l'hôtel s'est fait beaucoup plus naturellement que la ruse de la première fois, il y a moins de malaise, beaucoup plus de complicité, de sourires, d'excitation aussi...

Elle se déshabille sur le lit et veut que je la pénètre tout de suite. Je suis excité mais j'aime bien les préliminaires aussi, si bien que j'éprouve quelques difficultés à entrer : Aïcha a vraiment un sexe hyper serré qu'elle contracte, j'y bouger difficilement mais ça suffit à la faire jouir presque instantanément, puis une deuxième fois quand j'éjacule à peine quelques minutes plus tard...

Dans la continuité, les post-liminaires deviennent préliminaire de la suite, le brouillon évoque un cunni aidé de caresses et de doigtage : 3ème orgasme de la belle en 10 minutes... Ça m'excite, je rebande dur et la repénètre, toujours en missionnaire, plus longtemps... La pénétration est douce au début, jusqu'à son orgasme. J'enchaine, sans ménager de pause et la prend de plus en plus violemment et fortement. Je remonte ses jambes, je la pénètre le plus profondément possible, elle est hyper mouillée, en état second, nos deux orgasmes s'enchaînent quelques secondes l'un après l'autre... Quel pied...

On reprend quelques forces, une discussion câline. Mais décidément Aïcha est rapidement échauffée, délaissée qu'elle a été durant toutes ces années. Et de la sentir aussi chaude, ça me fait un effet immédiat... On refait l'amour, moi derrière, elle allongée sur coté, elle adore cette position. Elle est particulièrement active mais finit par fatiguer et décide de me chevaucher. Elle prend un panard d'enfer, je rentre à fond, dès que je gonfle le sexe elle le sent bien et jouit fort... Moi pas, mais suis grave excité : "suce-moi ma belle"... Aïe, la fellation n'est pas son fort : je tente quelques conseils mais c'est pas ça, elle n'aime pas et veut même que "je me finisse moi-même". J'étais encore un peu prude à l'époque, et je note dans mon brouillon, un brin choqué, que "je n'avais jamais vu ça", c'est mignon...

Je fini par la prendre en missionnaire et là, c'est un festival : elle a quatre orgasmes, moi j'en peux plus, j'arrive pas à jouir et j'ai peur de débander tellement elle est serrée et tellement j'ai donné... Mais je me concentre, je fais un peu le bourrin, je force et accélère, elle prend un pied monumental et finit par tellement m'exciter que je jouis aussi, elle m'en reparlera souvent, elle a vraiment adoré et dira "c'est impossible que tu ne fasse pas jouir une femme comme ça"... Pourtant c'est vrai ma belle, une de mes plus grandes frustrations encore aujourd'hui est de n'être jamais arrivé à donner ce genre d'orgasme à Caroline...

S'ensuivent câlins et discussions comme des amoureux et c'est l'heure, 16 heures... Nous sommes un peu éloignés du centre et il nous faut marcher une heure pour pallier un problème dans les transports. Une heure de confidences, très agréable, je me sens bien avec elle alors que je ne l'aurais jamais cru...

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