mardi 21 octobre 2014

Deuxième RDV avec ma jolie étudiante malgache et au-delà : l'entente sexuelle parfaite


Pour ce deuxième rendez-vous, j'avais prévu de conclure avec ma jolie Lola. L'affaire paraissait entendue, elle était manifestement complètement subjuguée et, même si elle avait semblé contrariée par la confirmation du fait que je sois marié après que nous nous soyons embrassé lors de notre premier rendez-vous, les échanges que nous avions eu par la suite et le fait qu'elle se trouvait avec moi pour ce second rendez-vous ne laissaient pas trop planer le doute sur l'intérêt qu'elle me portait.

Je décidai de ne pas perdre de temps tout en ne la brusquant pas (l'expérience des premiers rendez-vous avec Aïcha avait été riche d'enseignements), et, prétextant une activité dont elle se souviendrait, nous nous dirigeâmes vers l'hôtel que j'avais réservé en nous bécotant tranquillement.
Quand elle se rendit compte de l'endroit où je l'emmenais, elle n'eut aucun mouvement de recul ou de reproche, elle en avait manifestement au moins autant envie que moi...

Je ne me souviens plus du détail de notre étreinte de ce jour, ni des très nombreuses suivantes (nous nous sommes vu au moins une dizaine de fois dans des hôtels, puis chez elle quand elle eût largué son copain du moment). Juste des bribes enchantées.

Lola avait une petite chatte serrée mais profonde qui accueillait sans mal mon sexe et l'entourait parfaitement. Elle prenait vraiment bien, profondément et était d'une souplesse qui permettait une pénétration longue et complète... Je me souviens qu'elle appréciait notamment particulièrement d'avoir les genoux comme boucle d'oreilles.

Elle suçait bien, doucement en me regardant dans les yeux, et son sexe était doux à dévorer et prenait bien un ou deux doigts pendant que je jouais avec son clitoris. Elle l'avait d'ailleurs aussi sensible que ses oreilles ou les fins poils de sa nuque grâce auxquels je la rendais folle à force de patience et de harcèlements joueurs.

Mon meilleur souvenir reste toutefois son cul magnifique que j'aimais caresser ou pétrir pendant que je la prenais dans tous les sens... Particulièrement en levrette où il m'était parfaitement offert et où mes caresses délicates sur les bords de son anus bien net, encadré de ses jolies petites fesses rebondies et musclées, finissaient de la rendre folle, et moi avec...

Bref, avec Lola, c'était vraiment le pied au lit. Je la trouvais vraiment belle avant, pendant et après, j'aimais me serrer contre elle et la cajoler dans les moments plus calmes et j'ai pris les risques les plus inconsidérés, inventé les histoires les plus farfelues pour, une fois n'est pas coutume, passer quelques nuits entières avec elle, la suivant jusque dans son école de province pour un week-end où nous fûmes seuls au monde...

Et puis, la raison a repris le dessus sur la passion. Lola, en catholique convaincue et pratiquante, vivait assez mal le rôle de maîtresse que les évènements et ma drague particulièrement habile et chanceuse lui avaient attribué. Elle s'était juré de n'être pas de ces femmes qui cocufient les autres et, malgré tous mes efforts pour la convaincre qu'elle n'y était vraiment pour rien, cela finissait par peser sur notre relation.

D'autant plus que du haut de ses vingt ou vingt-et-un ans, elle aspirait à des relations à plus long-terme. J'étais arrivé au milieu d'une relation assez toxique, un copain jaloux et pas assez attentionné. Des paroles rassurantes, un soutien dans une période difficile et une alchimie magique m'avaient ouvert ses bras.

A présent, elle avait terminé ses concours, intégré une bonne école, largué son copain de toujours (deux ou trois ans tout de même) et était pleine de confiance en elle, aimée, rassurée et comblée par un homme de dix ans son aîné. Prête à profiter de cette nouvelle vie qui s'offrait à elle.

Notre histoire s'est donc terminé ainsi, sans heurts particulier, elle s'est juste renvolé par la porte que je lui avais toujours laissé ouverte, parce que c'est le jeu et que je savais dès le début que je ne pourrais pas lui offrir tout ce qu'elle méritait.

La parenthèse fait toujours un peu mal quand elle se referme, mais c'est quand même infiniment mieux que si elle n'avait jamais existé.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire