vendredi 5 décembre 2014

Sandy, jolie petite ivoirienne, me rend fou...

Quand, en ce jour de juillet 2013 [il y a plus de 3 ans à la date où j'écris ces lignes !], je repère cette mignonne petite black au distributeur de tickets de métro, je n'hésite pas une seconde pour l'aborder.


Elle est fine, bien roulée, souriante et bien qu'étonnée dans un premier temps, elle s'avère très vite joueuse. Opener classique, fausse contrainte de temps, num-close immédiat et elle me chasse en me rappelant que je dois filer avec un sourire entendu. Elle n'a pas remarqué mon alliance (ou peut-être l'ai-je ôté, je ne sais plus).


Je reprends contact deux jours après par SMS, longue conversation, joueuse mais pas si facile lis-je dans mes notes, je vais fouiller mon téléphone pour plus de détails ! On finit par se caler un RDV après 3/4 conversations. On emporte le chawarma dont elle avait envie, on marche, discute. Je sexue bien, elle me dit ne pas aimer le sexe pour le sexe mais ça ne m'empêche pas de bien kinoter après un massage impromptu.


Deuxième RDV, je fais le guide au Louvre, elle adore, boit mes paroles et se crée des souvenirs. Je l'embrasse à la sortie et je la raccompagne. Elle est ouverte mais va prendre son temps.


Troisième rencard, un resto chinois puis elle me propose un DVD à la maison (elle vit dans une chambre de bonne louée par des proprios un peu stricts), je me faufille même si elle m'a assuré qu'il ne se passerait rien. Je ne me souviens plus du film mais ce qui est sûr c'est que j'ai fini à poil, qu'elle a beaucoup rit, a été impressionnée par ma confiance en moi mais qu'il ne s'est vraiment rien passé ! En fait, elle se méfie encore beaucoup. Pour éviter de la ramener chez moi, j'ai raconté un pipeau sur un ami que j'héberge. Elle veut le voir, veut tout de même venir chez moi. Evidemment j'accepte et je dois finalement inventer un long déplacement d'affaires pour éviter d'être démasqué.


Mais la petite Sandy trotte toujours dans mon esprit et, la veille de Noël, trois mois plus tard, je suis de "passage impromptu" à Paris. On se revoit, je lui prépare un super circuit : marché de Noël sur les Champs, tour de la Grande Roue de la Concorde et hôtel de jour où je parviens à l'entraîner pour un fuck-close mémorable.


Son corps est vraiment tout mignon, ferme et doux. De jolis seins très agréables à caresser tandis que je la prends en levrette... Mais n'anticipons pas. Je me souviens avoir commencé par des caresses et un cunni qu'elle adorera, mouillant abondamment au moment de jouir sous mes coups de langues. Puis cette phrase sur-excitante que j'entends encore : "oh, laisse-moi te sucer maintenant". Un bonheur de prendre cette petite bouche aux lèvres charnues. Puis deux rounds de pénétration dans diverses positions. J'en ai encore un très bon souvenir.


Puis je suis censé repartir pour ma région natale (j'étais d'Alsace cette fois-ci, avec moults détails pour calmer sa suspicion), je ne la reverrai pas. J'ai en effet tenté de l'appeler quelque chose comme dix-huit mois plus tard et... elle était mariée et venait d'avoir une petite fille ! Et non, je sais à quoi cela vous fait penser, mais, même si elle est est un très bon coup et qu'elle peut prendre son pied, Sandy n'est pas du genre à tromper son nouveau mari. Du moins, pas avant une bonne dizaine d'années je le crains.

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